La puissance des images, voilà ce qui frappe avant tout dans le travail du réalisateur, directeur photo et monteur Alexandre de Bellefeuille. Ses projets captivent instantanément, marquent durablement.
Fort d’un diplôme en sémiotique (faites signe de vous y intéresser, il vous en expliquera le sens), Alexandre évolue avec aisance tant dans les mondes de l’art et de la littérature – où il s’est taillé une jolie réputation grâce à ses portraits francs – que dans ceux du documentaire et de la mode.
Son style visuel est parfaitement pluriel et son talent, doublé d’un instinct tranchant. Il passe de l’imagerie pop saturée aux noirs et blancs hyper-contrastés avec aisance et doigté. C’est qu’Alexandre réalise avec précision et monte avec minutie. Rien ne lui échappe, il sait à la fois battre la mesure et varier le tempo, toujours au profit du résultat. Selon lui, tout est une question de rythme. De la pré- à la postproduction, sa polyvalence dans l’ensemble du processus de création lui vaut aujourd’hui le surnom de « couteau suisse » de la vidéo.
Il compte notamment Vanity Fair, Alaïa, l’Opéra national de Paris, L’Oréal, Revlon et de grandes sociétés technologiques comme Unity Technologies et Google parmi son impressionnante clientèle.
Les courts métrages de fiction dont il signe la réalisation et la direction photo ont été sélectionnés par des festivals de renom comme Les Rendez-vous Québec Cinéma, le festival du court métrage de Clermont-Ferrand et le Festival International du Film sur l’Art. Ils ont également été exposés au musée des sciences et de la technologie de Shanghai ainsi qu’au Musée des beaux-arts de Montréal.
